Chaque année, le 31 mars, la journée internationale de la visibilité trans (TDOV) met en avant les parcours, luttes et victoires des personnes transgenres à travers le monde. Créée en 2009 par l’activiste américaine Rachel Crandall, cette journée ne se limite pas à une simple reconnaissance : elle est un appel à la lutte contre les discriminations et à la promotion de l’égalité des droits.
Dans un monde où les personnes trans sont encore trop souvent invisibilisées, stigmatisées ou discriminées, cette journée est un moment clé pour affirmer leur place dans la société… y compris dans le sport !






Dans ce contexte, des organisations telles que SOS TRANSPHOBIE jouent un rôle crucial en luttant contre la transphobie et en soutenant les individus affectés par des discriminations liées à l’identité de genre.
SOS TRANSPHOBIE est une association dédiée à la lutte contre la transphobie, œuvrant pour l’égalité des genres, la reconnaissance légale et le droit à l’autodétermination de toutes les expressions et identités de genre. Elle offre un espace où les victimes de transphobie peuvent témoigner et chercher du soutien, tout en informant le public sur les questions relatives aux personnes transgenres ou non-binaires. L’association s’engage également dans la défense des droits humains des personnes trans et/ou non-binaires sans exception.
En France, la transphobie est reconnue comme un délit puni par la loi. La LOI n° 2012-954 du 6 août 2012 relative au harcèlement sexuel et à la transphobie en raison de l’identité sexuelle, ainsi que la LOI n° 2014-56 du 27 janvier 2014, renforcent la protection des personnes transgenres en sanctionnant les propos injurieux et diffamatoires à caractère transphobe. De plus, la LOI n°2017-86 du 27 janvier 2017 a aggravé les peines applicables aux infractions commises en raison de l’identité de genre.
Plus d’informations sur : https://www.sos-homophobie.org/informer/definitions/transphobie