Au lendemain des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, la Fondation FondaMental dévoile, en partenariat avec le ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques et l’INSEP, les résultats d’une étude menée par Harris Interactive sur la santé mentale des jeunes sportifs de haut niveau français. Au-delà d’indicateurs classiques, elle révèle une prise de conscience des athlètes sur ces enjeux et la nécessité de renforcer les actions menées pour une meilleure prise en charge. 

Cette étude, réalisée du 25 mars au 12 avril 2024 par Harris Interactive, s’est appuyée sur une consultation en ligne auprès de 1 885 sportifs de haut niveau âgés de 16 à 25 ans suivis par le ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques. 

Si la majorité des jeunes sportifs de haut niveau indiquent ne pas ressentir de mal-être actuellement, ils sont près d’1 sur 5 à exprimer des difficultés. Evalués via des échelles scientifiques reconnues, les résultats révèlent ainsi des risques de dépression modérée à sévère chez 17% des jeunes sportifs, de troubles anxieux généralisés (24%) et de troubles du sommeil (44%).

Chez les athlètes comme en population générale, les jeunes sont donc exposés à des risques accrus de développer des troubles psychiatriques.

Cette étude révèle également que le cercle social proche, notamment la famille (66%) et les amis, est privilégié par les jeunes sportifs pour aborder les questions de santé mentale. Les moins de 20 ans, en particulier, se tournent principalement vers leur famille, tandis que les plus de 20 ans sont davantage enclins à consulter des professionnels de santé mentale.

Pour aller plus loin : téléchargez le communiqué de presse et visitez le site de la Fondation FondaMental

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Pour aller plus loin : téléchargez le communiqué de presse et visitez le site de la Fondation FondaMental