Chaque 1er mai, la journée mondiale du travail nous rappelle l’importance des droits sociaux, de la reconnaissance des travailleurs et de l’évolution des conditions de travail. Mais aujourd’hui, la question ne se limite plus aux horaires ou au salaire. Elle s’élargit à une exigence nouvelle et essentielle : le bien-être au travail.
Le sport en entreprise n’est plus un simple « plus », il devient un véritable levier de performance et de prévention. Pratiqué de manière régulière, il permet de lutter contre les troubles musculo-squelettiques (TMS), le stress, le mal-être psychologique, et même l’absentéisme.
Mais il favorise aussi la cohésion d’équipe, la motivation et la fidélisation des collaborateurs.
D’après l’Observatoire du sport en entreprise (2024), un salarié actif serait 32 % moins souvent absent, et la productivité globale pourrait grimper de 5 à 9 % selon les secteurs.
Depuis la loi de finances 2024, les employeurs peuvent contribuer jusqu’à 215 € par an et par salarié pour financer des activités physiques (abonnements, cours, équipements collectifs…), sans charges sociales ni fiscales.
Ce soutien légal inscrit le sport en entreprise dans une dynamique nationale de santé publique et de QVT (Qualité de vie au travail).




